La Chambre aux Papillons
de Lucinda Riley

Après mon gros flop avec « Les Sept Sœurs » de Lucinda Riley, j’ai décidé de donner une nouvelle chance à cette auteure et j’ai lu cette semaine  » La chambre aux Papillons ». Ce raconte l’histoire de Posy Montague, mais en deux temporalités alternées. Son enfance et ses années d’études après le seconde Guerre Mondiale, et aujourd’hui, avec une Poppy de 70 ans qui est mère et grand-mère. La vie de Posy a pour socle Admiral House, une magnifique résidence dans le Suffolk, qui appartient à sa famille depuis plusieurs générations. Elle y a grandi jusqu’au décès de son père durant la Guerre, puis est partie vivre chez sa grand-mère. Une fois adulte et veuve, elle est revenue et y a élevé ses deux garçons, mais elle ne possède plus les moyens d’antan et cette demeure coute très chère. Elle décide donc de s’en séparer, même si cela lui brise le cœur, car son histoire a commencé dans cette demeure où elle chassait les papillons avec son père, mais demeure qui garde dans ses murs un terrible secret. 
A travers l’histoire de la Posy jeune et moins jeune, on va découvrir sa vie, ses amours dont un qui réapparait à la fin de sa vie et qui sera la clé pour éclairer ce mystère qu’il garde pour lui depuis 50 ans, que l’amour d’une mère est acquis pour ses enfants mais que cela ne l’empêche de voir la réalité telle qu’elle est et que la vie… sapristi, ce n’est jamais simple et que le bonheur n’est jamais facile! 
Mon opinion: j’ai bien aimé ce récit, surtout la partie de la Posy jeune, et je me suis beaucoup attachée à l’héroïne du livre et à sa vision sans fioritures de la vie (j’étais même un peu triste de lui dire au revoir), mais je ne reste pas très fan de l’écriture de Lucinda Riley qui remplit ses livres de dialogues creux et souvent répétitifs. C’est vraiment dommage car, à mon sens, les livres seraient plus percutants sans ces remplissages. Je vous le recommande quand même parce que les personnages sont attachants et que j’aime me plonger dans ces périodes historiques où la vie semblait avoir une autre saveur.