Pour découvrir la sportive qui se cache en nous!

Le cahier running des paresseuses

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Quand les beaux jours reviennent et que la marmotte en moi sort de son hibernation, je me dis: hum… je pourrais faire du sport! Aussitôt pensé, aussitôt une motivation sortie de je-ne-sais-où m’envahit et me fait trépigner et cela n’arrive pas assez souvent pour que je puisse ignorer ce phénomène. Au contraire, le sachant très éphémère, il me faut tout faire pour l’optimiser.
Bon… quand on est une paresseuse, il vaut mieux choisir un sport que l’on pourra pratiquer sans trop de contraintes. Avec mes horaires irréguliers et dans la mesure où je vis à 30 mètres d’un parc magnifique, la course à pied me semblait parfait et donc… j’ai acheté le cahier de running des paresseuses pour m’y mettre gentiment.

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Ce cahier m’a accompagnée pendant 1 mois. A chaque jour son programme, à chaque semaine ses objectifs. On commence tout doux avec de la marche et un peu de course et on intensifie le rythme. A chaque jour son programme, en intégrant même des jours de repos pour que notre petit corps de paresseuse ne souffre pas trop.

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Des conseils sur l’échauffement et les étirements, des exercices complémentaires et des recommandations alimentaires sont prodigués tout au long du programme. Tout pour optimiser l’entrainement et les résultats pour vous motiver à progresser.

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Alors bien sûr, pour commencer… il faut un endroit pour courir. Moi, j’ai choisi le parc à côté de chez moi et je me suis tenue à cet endroit. Mais bien sûr, il est possible de courir n’importe où. Seule ou avec sa meilleure amie, si on arrive à parler en courant, parce que, finalement, si, en souffrant, on peut voir les gens qu’on aime alors là, c’est le succès total.

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Ce cahier nous livre des astuces pour choisir ses habits, ses chaussures et tout le matériel pour être au top, sans avoir l’air d’une sportive du dimanche, mais sans se ruiner non plus.

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Et puis, petit à petit, on fait des progrès et, sans mentir, on va courir le matin avant le boulot, le soir quand le soleil commence à se coucher et même sous la pluie. On se découvre une âme de sportive qu’on ne se connaissait pas. Mais bon… je dois dire que, malgré tout, jongler entre le boulot, les amis, la famille, les sorties, les heures d’hibernation et le running, cela demande une grande organisation et qu’une fois le programme terminée, il est difficile de maintenir le rythme, surtout avec les grosses chaleurs que nous avons connues ces derniers jours.
Mais le programme marche, il faut juste garder le rythme!

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