Retour aux classiques!

Hamlet
de Shakespeare

Tous ceux qui ont commencé un jour un nouveau job – tout le monde, autrement dit!  – savent que les premiers mois sont souvent des mois de renonciation de soi, car en tant que petite nouvelle, j’ai beaucoup de travail pour remplir ma tâche, rattraper mon retard sur les connaissances que tout le monde a et me faire de nouveaux petits camarades! Bref, mes journées sont longues, mais je lutte! Je lutte pour maintenir mon rythme d’un livre par semaine et de publication sur le blog (5-7x par semaine). Je lutte, parce que c’est important pour moi: partager avec vous est devenu ma normalité, ma routine et presqu’un besoin ! Cela m’oblige aussi à arrêter de travailler pour profiter de mon temps libre. Bref, tout cela pour vous dire que cette semaine, je me suis penchée sur une pièce de Shakespeare : Hamlet. En réalité, j’ai acheté Hamlet, Macbeth et Le Songe d’une Nuit d’été – ma pièce préférée et je me réjouis déjà de vous en parler vite! Je n’avais jamais lu, ni vu au théâtre, Hamlet, mais je connaissais, bien sûr, certaines des phrases célèbres de cette pièce comme « Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark  » ou « être ou ne pas être », mais je ne pouvais pas les situer! Il n’est jamais trop tard pour se cultiver et se replonger dans les textes classiques et c’est toujours bon pour les méninges. Cette pièce est donc la plus longue de Shakespeare et a été rédigée à la fin du XVIe siècle. Bien sûr, c’est un autre langage, mais il suffit que quelques scènes pour se mettre dans le bain et prendre beaucoup de plaisir à ces textes qui ont traversé le temps! 
Pour vous résumer cette pièce, le roi du Danemark, le père d’Hamlet, est mort récemment et son frère a hérité du titre et épousé la femme du défunt roi, 2 mois après son décès. Un soir, le spectre du roi défunt apparait à Hamlet et lui révèle qu’il a été assassiné par son frère. Hamlet doit venger son père et pour mener son plan à bien, il simule la folie. Chacun essaie de comprendre la source de cette folie, mais le roi perçoit le danger et décide de se débarrasser de son neveu. 
Une pièce très sombre, mais très intéressante aussi. Je l’ai trouvée également très en lien avec notre actualité mondiale. Faut-il agir et se perdre au propre (et être) ou assister à ce qui se passe et se perdre au figuré (et ne pas être)? Telle reste la question qui traverse les temps. 

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