Restaurant La Sardine

Cette semaine avec une amie, je suis partie à la découverte du restaurant La Sardine à Lausanne. J’ai entendu du bon et du moins bon sur ce restaurant, néanmoins je ne peux que vous parler de mon expérience qui a été bonne. Mais j’ai été surprise, car je pensais être dans un restaurant de poissons, mais du tout. Il s’agit d’un restaurant dont la cuisine créative est réalisée par le chef doublement étoilé Alexis le Tadic.

La carte, comme je les aime propose très peu de plats. Ce soir-là en entrée, il y avait la pastèque avec sa feta flambée et son maquereau mariné aux agrumes, le ris de veau comme un nuggets aux épices, le « hot dog » de boudin blanc en tempura et enfin le poireau vinaigrette. Nous avons sauté l’entrée pour nous concentrer sur la suite (mais si j’avais pris quelque chose, cela aurait été sans hésitation la pastèque!)

En plat, il y avait le magret de canard avec ses carottes confites. C’est le plat que j’ai choisi et sincèrement je me suis régalée. J’ai été bien conseillée au moment de passer ma commande. Parfait.
Mon amie a choisi le cabillaud nacré au beurre de homard avec son aubergine rôtie. Il ne restait pas une miette de son assiette à la fin du repas. Elle s’est aussi délectée de ce plat. 
La carte proposait aussi une salade cuite sous pression avec des tomates et des citrons confits et du thon rouge et des anchois ou encore un risotto végétarien de saison. 

Nous avons terminé ce repas une bonne dose de douceur: Le baba (sans rhum) avec un sirop agrumes-vanilles et sa crème montée au yuzu, sa salade d’agrumes et un praliné choco-noisette. Une tuerie!
Et moi j’ai choisi le citron avec sa ganache montée au yuzu et son insert citron-concombre-aneth. Aussi beau que bon!

Comme je vous le disais au début, nous avons passé un très agréable moment en terrasse et nous nous sommes régalées. Et si de ce côté-là, je n’ai rien à redire, je trouve tout de même que les prix étaient trop élevés. Je dirais même pas raisonnables. Du coup, je vous invite à y aller en connaissance de cause, mais personnellement à cause de cela, je n’y retournerai sûrement pas.