Gardiens des Cités Perdues (T.2)
de Shannon Messenger
Il y a quelques mois, je découvrais les aventures des Gardiens des Cités Perdues de Shannon Messenger. Rappelez-vous, le premier tome racontait l’histoire de Sophie, qui avait été placée dans le monde des humains jusqu’à ses 12 ans. Le récit débutait donc lorsque cette dernière réintégrait le monde des Elfes où on découvrait que Sophie possédait bien plus de pouvoirs qu’un elfe normal. Après de multiples aventures, nous arrivons dans le deuxième tome, où nous avons appris que ses pouvoirs sont dus à une manipulation génétique de son créateur, le Cygne Noir. Des pouvoirs vraiment surprenants qui méritent d’être surveillés, car ils doivent être maîtrisés.
Néanmoins, malgré cela, Sophie s’adapte à cette nouvelle vie entre sa famille, son école et l’apprentissage de ses pouvoirs. Lorsque le conseiller Alden lui de l’accompagner à la prison des Elfes pour une mission très spéciale, elle n’a pas le choix et le suit. Ils doivent farfouiller dans la mémoire d’un prisonnier pour chercher un indice important pour résoudre une enquête, mais le brise-mémoire se passe mal et le conseiller brise sa mémoire, en plus de celle du prisonnier. Sophie doit donc absolument trouver une façon de le sauver, mais à ce moment-là, on se rend compte que son esprit est « défectueux ». Peut-être est-elle la cause de cet incident et peut-être a-t-elle précipité la fin d’Alden. Je ne vous en dis pas plus, et je vous laisse découvrir la solution au fil des pages, en sachant qu’il y a 4 tomes pour découvrir pourquoi le Cygne Noir a manipulé l’ADN.
Bon… je ne peux pas vous dire que je n’ai pas aimé, mais je ne pense pas lire les tomes suivants. J’ai trouvé que cette histoire oscillait trop entre la simplicité et les mécanismes des livres enfants et une noirceur peu indiquée pour ces derniers. Ce livre a du mal a se positionner entre livre pour enfant et livre pour adulte, ce qui entraine des langueurs un peu pénibles. Néanmoins, j’ai passé un bon moment et si vous aimez les livres fantastiques, je vous le recommande, mais… cette histoire n’égale bien sûr pas Harry Potter!